Halte au laxisme
L'été est bientôt là et la saison touristique a déjà démarré avec les longs week-end du mois de mai.Malheureusement, notre ville n'est pas prête pour accueillir les touristes. Elle offre même un spectacle pitoyable avec son Vieux Port squatté par des SFD de plus en plus nombreux chaque année, accompagnés par des chiens non tenus en laisse qui aboient et souillent nos trottoirs (l'arrêté du 14 mars 2006 n'est pas suivi d'effet...).
Les propriétaires des cafés, restaurants, magasins et bien sûr les riverains sont extrêmement pénalisés par cet état de fait.
Le Cours des Dames, le bas de la rue du Minage et la place des Petits Bancs sont des endroits privilégiés pour ces regroupements d'individus, la plupart du temps en état d'ébriété, où l'agressivité n'est pas toujours que latente.
De plus, l'effet d'attraction qu'exerce cette population sur les jeunes rochelais fragilisés peut être destructeur;
Si nous voulons continuer à jouer la carte du développement touristique, fidéliser la clientèle et l'inciter à prolonger son séjour ; si nous voulons préserver, revenir pour certains à une quiétude légitime (je rappelle combien les riverains du quartier Saint Nicolas souffrent des nuisances sonores dues aux "afters"), la politique du maire doit changer La situation est grave.
Je propose que soit pris un arrêté concernant "les regroupements d'individus en état d'ébriété ou non, accompagnés de chiens et couchés sur la voie publique" tout à fait approprié à la situation que nous vivons actuellement à La Rochelle, du moins pendant la saison estivale et pour les lieux concernés.
Il ne doit pas y avoir antagonisme mais cohérence entre fermeté et politique sociale afin que chaque individu ait sa place dans la ville.
Les propriétaires des cafés, restaurants, magasins et bien sûr les riverains sont extrêmement pénalisés par cet état de fait.
Le Cours des Dames, le bas de la rue du Minage et la place des Petits Bancs sont des endroits privilégiés pour ces regroupements d'individus, la plupart du temps en état d'ébriété, où l'agressivité n'est pas toujours que latente.
De plus, l'effet d'attraction qu'exerce cette population sur les jeunes rochelais fragilisés peut être destructeur;
Si nous voulons continuer à jouer la carte du développement touristique, fidéliser la clientèle et l'inciter à prolonger son séjour ; si nous voulons préserver, revenir pour certains à une quiétude légitime (je rappelle combien les riverains du quartier Saint Nicolas souffrent des nuisances sonores dues aux "afters"), la politique du maire doit changer La situation est grave.
Je propose que soit pris un arrêté concernant "les regroupements d'individus en état d'ébriété ou non, accompagnés de chiens et couchés sur la voie publique" tout à fait approprié à la situation que nous vivons actuellement à La Rochelle, du moins pendant la saison estivale et pour les lieux concernés.
Il ne doit pas y avoir antagonisme mais cohérence entre fermeté et politique sociale afin que chaque individu ait sa place dans la ville.