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Publié le par Dominique Morvant

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Dominique Morvant répond aux questions sur l'Université de La Rochelle :


Il est vrai que nos universités sont peu soutenues, très peu autonomes et La Rochelle malheureusement n'échappe pas à la règle. L'enseignement supérieur doit être revu et nous souhaitons en dehors des réformes nécessaires la création de campus de niveau européen dans chaque région française. Dans notre programme, nous proposons aux universités qui le voudront, un statut d'autonomie et ce avant la fin 2007.

Si La Rochelle est volontaire, ce que je souhaite, elle pourra organiser, librement ses filières d'enseignement, recruter ses enseignants, ses chercheurs et moduler leurs rémunérations, gérer le patrimoine, passer des contrats de partenariat avec d'autres établissements ou avec des acteurs économiques de la vie locale.

Nous savons depuis longtemps que nos universités ne sont pas assez performantes. Il est temps de leur en donner les moyens car n'oublions pas que malgré l'investissement de nos enseignants, un étudiant sur deux échoue au bout d'un an. Il me semble aussi particulièrement important que nous cessions d'encourager des filières d'enseignement sans débouché à la sortie. Il est essentiel que nous soyons à armes égales avec nos concurrents dans la compétition internationale.

La Rochelle est une université à dimension humaine qui a de nombreux atouts en particulier, son ouverture internationale. Dans un monde qui bouge de plus en plus vite, il est important pour nos étudiants d'effectuer le plus grand nombre possible de stages en France et à l'étranger et que nous continuions à favoriser les échanges notamment avec l'Asie.

Concrètement, lors du Conseil d'Administration du 23 octobre 2006, je m'étais engagée à attirer l'attention du Ministre de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche sur les difficultés budgétaires que rencontre notre université. Mon intervention, soutenue par Dominique Bussereau, a permis que 75 millions d'euros soient débloqués pour l'amélioration des conditions de vie et de travail des étudiants (1 282 000 euros correspondant à la mise en place des crédits du premier équipement de l'Institut du littoral de l'Université de La Rochelle et la somme de 953 000 euros correspondant à la mise en place des crédits du premier pôle de communication. Je souligne aussi que la DGF est en augmentation de 150 000 euros (augmentation conséquente par rapport à la moyenne nationale). D'autre part en 3 ans, 21 emplois ont été créés, 13 d'enseignants et 8 d'IATOS et que cette année, 5 emplois devraient être créés, 2 d'enseignants et 3 d'IATOS.

Comme vous le voyez, je suis avec beaucoup d'attention la vie de notre université, certes les moyens ne sont pas à la mesure des ambitions que j'ai pour elle mais soyez assuré que je veillerai toujours avec un intérêt tout particulier non seulement à son développement mais aussi à ce que les aspirations de nos jeunes soient satisfaites.

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E
Va sur le site de l'UNEF tu trouveras des réponses sur la CPU... De plus, si tu veux une vraie réponse pose de vraies questions :"<br /> Des propositions qui tournent le dos à la démocratisation de l'enseignement supérieur (16.02.07)<br /> La Conférence des Présidents d’Université a fait part lors de son colloque de Metz de ses propositions pour la réforme de l’université. L’UNEF partage l’objectif de réformer l’université pour permettre la réussite de tous, mais considère qu’un certain nombre des moyens listés par la CPU pour arriver à cet objectif sont dangereux. Quant aux déclarations du Ministre délégué à l’enseignement supérieur, elles constituent une véritable provocation.<br />  <br /> Une réforme concertée est nécessaire<br />  <br /> Une réforme de la Licence, avec pour objectif la réussite de tous, est indispensable. Il faut révolutionner les modes de transmission des savoirs et la pédagogie, notamment en adaptant la formation des enseignants à ces nouveaux enjeux. Pour répondre à cet objectif, une loi de programmation budgétaire est nécessaire, et l’UNEF partage le chiffrage avancé par la CPU de 12 000€ de dotation budgétaire par an et par étudiant. Quant à l’intégration des classes préparatoires et des grandes écoles aux universités, elle s’impose pour adosser l’ensemble des formations à la recherche et supprimer les voies de contournement et de reproduction sociale.<br />  <br /> Sur tous ces éléments, l’UNEF souhaite travailler avec l’ensemble des acteurs de l’enseignement supérieur et notamment la CPU pour relever le défi de la démocratisation de l’université.<br />  <br /> L’augmentation des frais d’inscription est contradictoire avec la démocratisation de l’enseignement supérieur<br />  <br /> Le Ministre délégué à l’enseignement Supérieur a estimé lors du colloque de la CPU qu’il était nécessaire de multiplier par cinq les frais d’inscriptions dans les universités, de façon à augmenter leurs ressources. Pourtant, dans l’ensemble des pays dans lesquels les frais d’inscriptions ont été augmentés (Grande Bretagne, Canada, Allemagne…), l’accès à l’enseignement supérieur et la durée des études ont été limités et la sélection sociale a été considérablement renforcée. En parallèle, l’investissement de l’Etat a baissé et les ressources des établissements n’ont finalement pas augmenté. Ainsi, loin de « responsabiliser » les étudiants, l’augmentation des frais d’inscription conduit à une sélection sociale impitoyable, les étudiants les plus modestes étant contraints de s’endetter et de se salarier pour financer leurs études. L’UNEF appelle donc l’ensemble des acteurs à ne pas s’enfermer dans les « fausses bonnes idées » libérales, et à s’appuyer sur les bilans chiffrés des expériences anglo-saxonnes. Quant à la caution sociale de la modulation des frais d’inscriptions en fonction des ressources parentales, l’analyse de l’exemple de Sciences Po Paris démontre qu’elle ne permet pas de parer à la sélection sociale. <br />  <br /> L’enseignement supérieur n’appartient pas à ses seuls acteurs mais à la société entière<br />  <br /> Quant à l’autonomie des universités, l’UNEF rappelle son attachement à l’esprit de la loi de 84 qui fait de la démocratie universitaire et de la pluridisciplinarité le corollaire de l’autonomie. Ainsi, l’amélioration de la gestion des universités doit passer par une clarification et un renforcement du rôle de l’Etat, sur la carte universitaire, le cadre national des diplômes ou encore sur l’attribution des crédits. L’autonomie des universités, qui est déjà très importante, doit être améliorée par des mesures limitant le corporatisme et facilitant la gestion quotidienne.<br />  <br /> Les CROUS doivent rester les opérateurs de la vie étudiante<br />  <br /> L’UNEF s’inquiète de la remise en cause du rôle des CROUS par la CPU, qui souhaite faire des universités les opérateurs de l’aide sociale étudiante et de la mobilité. S’il est souhaitable que les coopérations entre les universités et les CROUS soient approfondies, l’action sociale doit être déterminée sur des critères prioritairement sociaux et les CROUS doivent rester opérateur de l’aide sociale, de part leur savoir faire et l’association des étudiants à leur gestion.<br />  <br /> Une réforme de l’enseignement supérieur ne pourra pas se faire sans les étudiants. L’UNEF appelle les Présidents d’universités à inscrire leurs propositions dans le cadre d’un service public démocratisé, gratuit et libre d’accès."Veux-tu que l'on parle de l'allocation qui a été créée quite au rapport Wauquiez ???
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S
Message spécial aux deux fervents militants UNEF!<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> Laurent Wauquiez, député UMP de la Haute-Loire, s’est déclaré étonné de la publicité donnée à la déclaration de soutien à la candidate socialiste de quelques présidents d’université. Il remarque que sur plus de 80 universités, seuls six présidents en fonction ont décidé de s’engager au côté de Mme Royal, ce qui prouve bien que le programme socialiste ne répond pas à l’important défi qui est aujourd’hui posé à l’enseignement supérieur et à la recherche en France. Laurent Wauquiez, qui a récemment remis un rapport au Premier ministre sur le système des bourses étudiantes, regrette par ailleurs le ton extrêmement polémique de leur déclaration, preuve, selon lui, que c’est plus en militants qu’en universitaires qu’ils ont agit.  <br />  <br /> <br /> Le benjamin de l’Assemblée rappelle que de grands présidents d’université ont déjà de façon beaucoup plus sérieuse expliqué en quoi le projet de Nicolas Sarkozy sur l’enseignement supérieur et la recherche répondait mieux à leurs attentes que celui des autres candidats (« Les universités attendent une réforme », Les Echos, 10 avril 2007).<br />  <br /> <br /> Laurent Wauquiez a également tenu à préciser que Nicolas Sarkozy avait très récemment reçu une délégation de la conférence des présidents d’université (CPU) pour parler de la situation et de l’avenir de l’université française, et qu’à cette occasion, le candidat avait réaffirmé, non seulement qu’il avait une très grande ambition pour l’université (qui verrait son budget augmenté de 5 milliards d’euros à l’horizon 2012), mais surtout que sa réforme serait au cœur des priorités de son mandat présidentiel si les Français lui faisaient confiance.<br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br /> <br />  
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G
SUPER LES COPIES COLLES.... CA SERT A RIEN? YAUCUN INTERET DONC ARRETE
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R
La calculette poitevine : + avec -<br /> N’en déplaise à certains Cassandre trop subventionnés en blouse blanche et barbichette douteuse, notre Brave Patrie reste à la pointe mondiale de la technologie, et sait mieux que tout autre pays conjuguer recherche fondamentale et application concrète. Toujours soucieux de tordre le cou aux clichés, dont certains politiciens peu recommandables se gargarisent pour instiller le doute au cœur de la population française, le gouvernement révèle l’existence d’un outil révolutionnaire : la calculette poitevine.<br /> <br /> Les grandes révolutions technologiques, c’est à dire l’application de la science au domaine du quotidien, engendrent toujours une évolution fondamentale de la société. Ainsi, l’âge de fer nous a apporté la fourchette, qui nous a permis de manger proprement et de fonder notre grande tradition culinaire. L’imprimerie a créé l’information fiable, et chacun a pu apprendre les magnifiques résultats de la lutte contre la criminalité. La révolution industrielle et le chemin de fer ont posé les bases du tissu économique actuel, et sont à l’origine même de la croissance de 4,5% que la France devrait connaître cette année. L’inverse est tout aussi vrai : pour chaque nouveau pas sur le chemin d’une évolution harmonieuse de la société, il est besoin d’une révolution technologique. C’est pourquoi la majorité, sous le patronage avisé de son leader Jean-Pierre Raffarin, véritable Einstein des marais, développe et perfectionne depuis plusieurs années un outil qui a déjà commencé à rendre notre vie plus agréable. Face à la contestation d’un quarteron de chercheurs soucieux de leurs retraites, le gouvernement a enfin décidé de révéler l’existence de l’arme secrète qui permettra à la France d’en-bas, du milieu, mais aussi d’en-haut (car il n’existe pas de raisons pour que tous ne bénéficient pas de l’embellie économique) de connaître sa radieuse aurore : la calculette poitevine.<br /> A l’image de son auteur, l’idée est à la fois simple et géniale. Elle est apparue pour la première fois à Jean-Pierre Raffarin, qui avait pourtant des notes moyennes en arithmétique, à l’âge de 11 ans. Il n’a depuis cessé de la tourner et retourner dans sa tête, avant d’arriver à sa limpide conclusion : si -(-)=+, supprimer + permet d’une part de simplifier chaque opération, et d’autre part de réduire les coûts de fonctionnement de toute recherche mathématique, budgétaire, etc. Jean-Pierre Raffarin était toutefois bien conscient, lui, que recherche fondamentale sans application industrielle n’est que branlette de l’âme. Il lui fallait donc tester en grandeur réelle ce qu’il avait affectueusement baptisé, avec son humilité coutumière, la calculette poitevine : une calculatrice simplifiée, dotée pour seuls opérateurs des boutons - et =, et qui par une judicieuse utilisation répétée du soustracteur permettait d’obtenir un résultat positif pour le plus grand nombre des Français.<br /> Les résultats constatés en Poitou-Charentes furent tels que la calculette poitevine jouit rapidement d’une renommée méritée au sein de la majorité actuelle, qui l’a graduellement adoptée comme outil principal de sa politique financière. Et il n’est que de voir l’embellie dont bénéficie M. Raffarin dans les sondages, l’optimisme renouvelé des forces vives du CAC 40 et la reprise d’une croissance forte et soutenue pour se rendre compte que ce nouvel outil replace la France au fauteuil orchestre dans le concert des nations : Moins de pension moins de temps libre égale plus de bonheur ! Moins d’argent pour les onanistes de l’éprouvette moins d’impôts pour les entreprises qui innovent égale plus pour le budget de la recherche ! Moins de code du travail moins d’assistanat aux chômeurs égale plus d’emploi ! On le voit, il n’existe virtuellement aucun domaine où l’on ne puisse appliquer la révolution technologique que constitue la calculette poitevine - et l’on peut parier sans trop se tromper qu’elle le sera prochainement, pour le mieux-être de tous les Bravepatriotes.<br /> Par ailleurs, et cela devrait une dernière fois rabattre le caquet de ceux qui par corporatisme mal placé s’accrochent à un bec bunsen rouillé, l’Agenda 2006 du chef du gouvernement sera prochainement soumis au jury de la médaille Fields. On verra bien, alors, qui fait le moins moins pour que la France rayonne à nouveau de l’éclat des Lumières !<br />
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R
Carte scolaire : la mort annoncée d’une tyrannie<br />  <br /> Les candidats sérieux ne s’y sont pas trompés, de l’honnête homme de l’Intérieur à la sinistre bimbo des Charentes, guidés, tel jadis les rois mages, par la flamme d’un éclat d’opinion publique puissamment relayé par la sirène de l’IFOP, un consensus s’impose : la carte scolaire emmerde tout le monde.<br /> Seul le corps enseignant, cette poignée de parvenus, cette engeance clanique gangrenée jusqu’à la moelle par d’odieux trotskistes s’appliquant à laver sans relâche le cerveau de nos chères petites têtes blondes ; seule donc, cette cohorte de moules soudées à notre fier rocher républicain s’acharne à conserver ce qui tient plus du privilège que de l’acquis social.<br /> Car il ne faut pas se leurrer, cette insupportable ingérence étatique dans la gestion paternaliste de la S.A.R.L. Famille de tout un chacun ne s’applique qu’au bénéfice de ceux qui la contournent. Or les chiffres sont impitoyables : les rangs de la meute des usufruitiers de passe-droits se gonflent des progénitures de l’hypocrite clique enseignante.<br />  <br /> Un système éducatif inadapté<br /> Fort heureusement, l’homme de la rupture, celui qui se verra très prochainement confier le destin de notre Patrie, nous libèrera bientôt de ce reliquat très soixante-huitard, propulsant ainsi l’Education Nationale dans la redoutable efficacité des marchés concurrentiels. On ne soulignera jamais assez la nécessaire réforme de l’enseignement qui, d’un avis général, prépare très mal au monde de l’entreprise, contribuant par là même à alimenter la horde des parasites oisifs qui, malgré une scolarité fort coûteuse, n’ont pas réussi à acquérir de qualification leur permettant de participer à l’effort national d’augmentation croissante de notre PIB.<br />  <br /> Pourquoi maintenir un système éducatif qui manifestement ne répond plus aux besoins de la société moderne : former rapidement des collaborateurs dociles efficaces sans encombrer leurs esprits de frivolités comme l’histoire, la géographie, les sciences fondamentales, la littérature, le syndicalisme, la philosophie et bien d’autres choses encore qu’ils pourraient apprendre tout seuls en regardant la télévision le soir.<br /> Mais comment enseigner à des enfants la survie dans le monde merveilleux de l’entreprise quand tout ce qu’on en connaît se résume aux discours d’Arlette Laguillier voire aux mémoires de Maurice Thorez préfacées par Henri Krazuky comme c’est le cas de la grande majorité du personnel de l’Education Nationale ?<br />  <br /> L’école entreprise<br /> La réponse est claire. Il faut non pas faire venir l’entreprise à l’école, car globalisation et concurrence asiatique oblige, les vaillants entrepreneurs ont d’autres chats à fouetter, mais bel et bien, comme le propose M. Sarkozy, faire de l’école une entreprise ! En supprimant la carte scolaire, les établissements entrent de plein fouet dans le monde de la concurrence et l’angoissant quotidien du patronat. Les chefs d’établissement vont se muter en CEO, les Conseillers d’Education en responsable du marketing !<br /> Les collèges poubelles, fort justement épinglés par nos confrères du Point, seront rapidement contraints à améliorer leur prestation ou à plier boutique pour le bien de tous. Les rémunérations des CEO-Proviseurs des lycées les plus performants pourraient enfin atteindre une valeur juste, à la mesure de leur mérite, voire rivaliser avec celles des ténors du CAC40 tant il est vrai que pour y faire admettre leurs rejetons, les clients-parents seront prêts à mettre la main à la poche mais aussi sous la table.<br /> Les écoliers qui se verraient contraint à quatre vingt dix minutes de transport en commun biquotidiens pour rejoindre l’établissement scolaire du choix de leur parents seraient ainsi habitués dès leur plus jeune âge aux doux ronronnements du RER, synonymes, pour tous les travailleurs honnêtes, d’entrain matinal et de douce satisfaction de la besogne accomplie quand se termine la journée de labeur.<br />  <br /> L’école laïque, obligatoire et payante<br /> Mais ce n’est pas tout, car derrière la bénigne suppression de la carte scolaire et la nécessaire professionnalisation des établissements qui s’ensuivra, se cache tout un modèle de société, basé sur la liberté de choix - de l’école - et la prise de responsabilité individuelle - sous la forme d’une forte contribution financière. <br /> Quand la demande est supérieure à l’offre, seul le pouvoir d’achat permet de départager les clients potentiels affirment toutes les lois économiques qui régissent notre monde. <br /> Nous voilà donc prêts, pour le bien de tous, à faire entrer l’Education Nationale dans une nouvelle ère : l’école laïque, obligatoire et payante. Jules Ferry se dresse dans sa tombe et applaudit des deux mains.<br /> Le drame contemporain de l’inattention, du je-m’en-foutisme, de la violence tant dénoncée par les enseignants dont l’attitude profondément laxiste encourage ces comportements asociaux se fracassera de plein fouet sur le mur de cette nouvelle réalité scolaire. Car c’est bien la gratuité de l’enseignement qui le dévalorise auprès des élèves comme des parents. Lequel de ces géniteurs, même le plus irresponsable, des futures victimes expiatoires de l’école de parents de Mme Royal, laisserait ses enfants traîner dans les cages d’escaliers, revendre et consommer de la drogue, s’exténuer en de longues tournantes nocturnes quand il aura du revendre sa voiture pour payer l’école du petit ?
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