Nicolas Sarkozy m'apporte son soutien total

Publié le par Dominique Morvant

 

 

 

 

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N
Obligations légales et recommandations à la veille du premier tour<br /> 20 avril 2007 par iledere<br /> Le code électoral et les recommandations du FDI imposent que les sites de campagne, mais aussi les blogs officiels affiliés à des partis ou associations politiques, cessent toute activité à partir de vendredi 20 à minuit ce, jusqu’au 22 avril à 20 heures :- tous les flux RSS entrants de votre blog seront desactivés, pour éviter les mises à jour automatique
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P
Bonsoir Louis!<br />          Tout d'abord je suis ravie que vous trouviez qu'il n'y a pas de honte à voter selon ses convictions!<br />          Concernant la valeur du travail je suis un peu plus sceptique car c'est une notion interessante mais je suis pas sûre que NS soit le mieux placé pour la développer.<br />          Prenons dans l'ordre: selon Victor Hugo qui n'est pas le premier venu vous en conviendrez sans doute: "quand vous ouvrez une école, vous fermez une prison." Je pense que NS a compris cette citation à l'envers puisqu'il parle de traquer la délinquance dès l'école. On peut donc en déduire que sa citation est: quand vous ouvrez une école, vous ouvrez une prison également pour tous les délinquants de 3 ans et +.... Je ne pense pas que le fait de faire 2,3 conneries à l'école fassent d'un enfant ou d'un ado un délinquant!<br />          Ensuite avant de parler de travail il faut tout d'abord évoquer la formation  permettant d'obtenir ce travail. Je ne parlerai pas des écoles privées ou autres mais seulement de l'exemple de l'Université qui se suffit à lui-même je pense. Les frais d'inscription universitaires sont assez conséquents dans le budget d'un étudiant. Et à La Rochelle nous n'avons pas trop à nous plaindre! Le problème est que NS veut augmenter ces frais! Quelle solution vont alors avoir les étudiants les moins aisés qui se salarient déjà pour payer leurs études? Je pense que l'égalité d'accès des étudiants à la formation risque d'être fortement mise à mal....<br />          De plus NS parle également d'instaurer une sélection à l'entrée de l'Université. Le baccalauréat n'est-il déjà pas une sélection à cette même entrée? Sur quels critères? Je trouve ce principe un peu inquiétant puisque c'est le seul moyen de faire des études actuellement avec "un minimum" de frais, en comparant aux formations privées évidemment! Et le problème de l'égalité reste récurrent!<br />          Enfin NS souhaite développer les bourses au mérite. Il faut savoir que la plupart des étudiants boursiers, et même non boursiers, sont obligés de se salarier afin de payer les frais d'inscription, la sécurité sociale, les manuels universitaires, les frais de concours.... quand ce n'est pas pour le loyer ou la nourriture!!! Par conséquent ces étudiants qui auraient réellement besoin d'obtenir ces bourses n'auront hélas pas les mêmes chances d'y arriver...<br />         Je ne pense donc pas que NS puisse donner un quelconque sens à cette notion pour une bonne partie de la société. Mais il se peut que je sois dans l'erreur...
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A
Cher éric, <br /> de grâce cessez vos calomnies intempestives, totalement dénuées de sens.J'ai honte pour vous.
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P
<br /> Dans un article précédent, (voir rubrique UMP : AZOUZ BEGAG REGLE SES COMPTES AVEC SARKO ) nous nous faisions l’écho de la franche bonne humeur régnant dans le gouvernement Villepin. Une réelle amitié lie les membre du gouvernement qui peuvent ainsi se gausser de certaines divergence existant dans les autres partis, alors qu’à l’UMP tout n’est que calme travail et complicité.<br /> Une relation saine qui transparait dans les critiques bienveillantes que le ministre d’Etat fait à son collègue moins expérimenté que lui : Tu es un connard ! Un déloyal, un salaud ! Je vais te casser la gueule ! Tu te fous de mon nom… Tu te fous de mon physique aussi, je vais te casser ta gueule, salaud ! Connard !”<br /> Si cela n’avait pas été écrit par le ministre Begag, on aurait pu croire à un vilain bobard, car la manière dont les ministres de la République communiquent entre eux est pour le moins étonnante… Heureusement sarkozy a pu amener un démenti formel aux élucubrations de son collègue qui avait surement fumé la moquette de son bureau ministériel :<br /> “Je n’ai jamais dit cela à Azouz Begag pour une raison simple, je ne l’ai jamais rencontré”, a affirmé M. Sarkozy à i-télé: “Ce qu’il dit est un mensonge éhonté, ce ne sont pas mes méthodes”. Ouf, nous voici rassurés… Un ministre d’Etat capable de menace, ce n’était pas possible… Ce serait comme soutenir qu’il pouvait mentir de manière éhontée… Donc cette photo ne peut être qu’un vilain trucage…CQFD<br />
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R
Vendredi 13 avril 2007 des salariés de JDC, Nestlé et Gate Gourmet ont été bloqués par des forces de police, alors qu’ils voulaient se rendre à Meaux pour interpeller Nicolas Sarkozy, candidat à l’élection présidentielle, sur la question de l’emploi.<br /> Les salariés de Gate Gourmet n’ont jamais pu sortir de la zone industrielle de Mitry, ils en ont été empêchés par d’importantes forces de l’ordre. Quant aux JDC, ils ont été bloqués sur une route départementale : une fois descendus de leur car, les forces de l’ordre les ont cernés, leur interdisant tout mouvement. C’est ainsi que les salariés ont été chargés par les CRS, alors qu’ils essayaient de repartir à pied ˆ certains d’entre eux ont été brutalisés.<br /> Cette situation est anormale et inquiétante à plus d’un titre : tout d’abord, il s’agit d’un délit d’entrave à la liberté de circulation, il s’agit aussi d’un délit d’entrave au droit d’expression.<br /> Nous avons bien compris la conception de la légalité républicaine qui est à l’oeuvre dans de telles réactions, quitte à remettre en cause des libertés fondamentales…<br /> Enfin, on peut être surpris qu’un tel déploiement de forces de l’État soit mis en place pour le meeting d’un simple candidat.<br /> TEXTE DE LA DÉPÊCHE DE L’AFP<br /> (Trouvée sur France 3 et Le Monde - liens sur le site)<br /> MEAUX, 13 avr 2007 (AFP) - 22h53<br /> Des salariés disent avoir été empêchés de se rendre à un meeting de Sarkozy<br /> Une centaine de salariés des entreprises JDC et LSG-Gate-Gourmet ont affirmé vendredi soir avoir avoir été bloqués par des forces de police alors qu’ils tentaient de rejoindre Meaux (Seine-et-Marne) en bus pour y rencontrer Nicolas Sarkozy, ce qu’un responsable policier a démenti. Des syndicalistes ont affirmé à l’AFP qu’ils avaient été bloqués pendant environ trois heures, et avaient pu reprendre la route une fois le candidat UMP à la présidentielle, qui tenait un meeting dans la ville parti, vers 20H30.<br /> Contactée par l’AFP, la préfecture de Seine-et-Marne n’a pas souhaité répondre à ces accusations. Un haut responsable de la police départementale a pour sa part évoqué de simples “contrôles routiers” et démenti que les salariés aient été bloqués, sans écarter que ces contrôles aient pu les “retarder”. Un premier car, où se trouvaient une cinquantaine de salariés de l’entreprise JDC (imprimerie), basée à Torcy, et de Nestlé (agroalimentaire), basée à Noisiel, a été bloqué sur la départementale 404 à hauteur d’Annet-sur-Marne, à quelque 15 km de Meaux, vers 17H30, selon Jean-Paul Brinon, délégué de l’intersyndicale CGT-FO de JDC-Imprimerie. “Des motards nous ont contrôlés une première fois à Torcy, puis une deuxième fois un peu plus loin. Du coup, nous avons menacé de bloquer l’A4 et ils ont dit qu’ils nous accompagnaient à Meaux. Quand on a pris la D404, ils nous ont bloqués à un rond-point et nous ont parqués au bord de la route”, a affirmé le syndicaliste à l’AFP.<br /> Un deuxième car, qui partait du site de Compans de LSG-Gate-Gournet, aurait lui été bloqué vers 18H00 dans la zone industrielle de Mitry-Mory, à 22 km de Meaux, a affirmé Michèle Guzman, secrétaire départementale du PCF en Seine-et-Marne, qui se trouvait dans le véhicule avec une cinquantaine de salariés. En outre, une vingtaine de salariés de LSG-Gate-Gourmet qui se trouvaient sur le parking de la gare de Meaux ont affirmé à l’AFP y avoir été bloqués une heure.<br /> Le Parti communiste avait appelé mercredi à Torcy (Seine-et-Marne) les salariés de Seine-et-Marne dont les emplois sont menacés à aller à la rencontre de M. Sarkozy vendredi soir à Meaux.<br /> Plus de 150 salariés de JDC sont en cours de licenciement après la liquidation judiciaire de l’entreprise.<br /> Par ailleurs, plus de 800 emplois sont menacés chez LSG-Gate-Gourmet, dont le tribunal de commerce de Mulhouse pourrait décider la liquidation d’ici au 2 mai.<br /> ____________________________________________________________<br /> La privation de la liberté de s’exprimé est d’utant plus grave que ce n’est pas la première fois que Sarkozy fait le coup :<br /> _____________________________________________________________<br /> MARSEILLE, 16 avr 2007 (AFP) - 19h28 Huit personnes affirment avoir été empêchées d’interroger Sarkozy<br /> Huit personnes qui voulaient, selon elles, interroger Nicolas Sarkozy sur sa politique culturelle et d’immigration durant son meeting samedi à Châteauneuf-du-Pape (Vaucluse), ont affirmé lundi, dans un communiqué, en avoir été empêchées en étant “retenues durant 1 heure 30 pour un contrôle d’identité”. Interrogée par l’AFP, la gendarmerie de Provence-Alpes-Côte d’Azur a confirmé la tenue d’un contrôle d’identité dans des locaux de la mairie de Châteauneuf-du-Pape “durant 40 minutes”. Les gendarmes ont indiqué qu’à la suite “d’informations des RG sur de possibles actions des intermittents et un trouble à l’ordre public, le préfet du Vaucluse avait demandé des contrôles d’identité sur la voie publique”. “Il semble qu’il y ait eu un problème d’identification”, a-t-on ajouté de même source pour expliquer la durée du contrôle. La préfecture du Vaucluse n’a pas commenté. Selon Claude Attia, ancien intermittent, lui-même et des membres de l’Education nationale et de Ras le Front ont été “embarqués” pour un contrôle d’identité et “retenus, le temps de l’intervention de M. Sarkozy, par les gendarmes, alors que tout le monde avait des papiers en règle”. “On n’a pas le droit de neutraliser les gens lors de réunions publiques afin qu’ils ne posent pas de questions aux candidats”, a-t-il ajouté.<br /> _________________________________________________________<br /> Toutes les informations en notre possession sont concordantes (Ouest France du 17 Avril, le Monde du 17 Avril…<br /> La police Nationale est-elle devenue une milice à la botte d’un candidat ?
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